Scatophilie  : une déviance sexuelle

Étant une paraphilie, la scatophilie est considérée comme une déviance sexuelle qui se manifeste surtout par une excitation qui est liée aux excréments. Lisez la suite pour avoir des infos précises.

Généralités sur la scatophilie

La scatophilie peut s’exprimer dans un fantasme sans pour autant passer à l’acte. De même, l’on peut le faire dans la réalisation des pratiques sexuelles. L’Association américaine psychiatrique a considéré la scatophilie comme un trouble mental. De la même manière qu’il s’agit du côté receveur ou de donneur, la scatophilie est parfois en association avec le bondage et discipline, domination et soumission (BDSM). Bien évidemment, c’est une pratique qui peut être réalisée en étant homosexuel ou hétérosexuel. En effet, en se conformant aux décisions de la psychanalyste sexologue, il existe plusieurs raisons pour qu’une personne se livre à la pratique de scatophilie. La première des choses à faire est de vérifier d’abord si la personne possède une excitation des excréments de son partenaire ou encore exposer ces propres excréments à l’autre.

Comment pratiquer la scatophilie ?

Par ailleurs, le principe de la scatophilie est très simple. Il s’agit d’un partenaire dominant qui oblige l’autre à accepter tout ce qui pourra venir d’elle, cela n’exclut pas surtout la merde. Plus précisément, il est question de recevoir des matières fécales sur le corps ou dans la bouche. Les techniques de cette pratique sont bien connus de tous et très simples à réaliser. Il s’agit de se faire déféquer dans la bouche ou encore sur le corps, accompagné d’une ingestion ou non. De la même manière, vous avez la possibilité de faire la scatophilie partagée. Cette pratique part du fait que les matières fécales sont une récompense. Par ailleurs, la sodomie peut également conduire à quelques fantaisies de la scatophilie. En effet, le pénis qui pénètre dans l’anus enduit les excréments qui peuvent être sucrés avec gourmandise par la personne qui est bien évidemment enculée.